Décidément 2014 est un mauvais cru pour nos cinéastes indépendants: après un Denis Côté sans intérêts, si ce n'est une incursion dans le milieu ouvrier, voici Robert Morin qui nous pond un film raté, devant lequel j'ai cogné des clous. Une incursion chez les autochtones, oui, il y en a trop peu, mais encore faut-il avoir un scénario qui se tienne. Cette (petite) note pour les images, souvent magnifiques, et pour la persistance de Morin à faire le cinéma qu'il veut, et non des films pour plaire au plus grand nombre. Vivement un prochain film aussi fort que Papa à la chasse aux lagopèdes ou Journal d'un coopérant.
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