Le film nous transporte à une époque où la société vivait du "peace and love" ce qui explique le climat idyllique où le monde idéaliste et sans souci prend toute la place. Tous les rêves sont permis... comme le rêve de Woodstock; cependant il faudra attendre le futur pour saisir l'ampleur du phénomène et ici, on sent l'ampleur à l'avance, ce qui m'a fait légèrement sourcillé. Alors pour ça, le climat d'époque est bien rendu mais le scénario présente des éléments qui focalise sur les enfants et je me questionne sur le rôle des parents ici; par ailleurs la mère de Frisson, nouvelle veuve, réagit assez bizarrement au décès de son mari. Plusieurs situations de ce genre me font dire que, bien sûr le film est léger, mais qu'il a été construit pour rappeler cette époque frivole où n'existait pas l'inquiétude du lendemain. Ma véritable note serait 6.5.
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