Premièrement, RESTEZ jusqu'au BOUT DU GÉNÉRIQUE!!! Sans avoir la profondeur de JURASSIC PARK, ou même l'humanisme déchirant du KING KONG de Peter Jackson, cette nouvelle mouture du gorille géant nous livre ce que la dernière version américaine de GODZILLA n'a pas su livrer: Un MONSTERS MOVIE de type B, qui s'assume pleinement, autant dans ses scènes d'action éblouissantes, que dans son humour désopilant. Il n'est aucunement question, ici, d'étirer la sauce, en multipliant les récits parallèles ennuyants. L'objectif: Offrir un spectacle visuellement impeccable, rappelant au spectateur adulte, les classiques de son enfance, tout en incitant les plus jeunes à s'ouvrir sur le cinéma d'antan. Si les personnages sont peu développés, la ballade est si énergique qu'on a tôt fait de l'oublier. Il faut dire que l'ensemble se veut un hommage, autant aux vieux GODZILLA qu'aux autres classiques de monstres, et que la profondeur des héros a souvent été secondaire, dans le genre. J'ai eu la chance de voir le film en 70 mm, et en anglais, et raffolant des films de Kaijū, je m'y suis amusé comme un petit fou. KONG SKULL ISLAND n'a peut-être pas un scénario digne de Shakespeare (ce n'était pas le but), mais les assauts du primate, et de son entourage, compensent. Se prêtant volontairement au jeu, les acteurs sont tous convaincants. Pourtant, John C. Reilly se démarque. J'ai adoré.
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