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Je m'attendais à quelque chose de pénible, et je n'ai pas été déçu. Je m'attendais à du théâtre filmé, des expressions méga amplifiées, et à un géant méga "happy-end": et là encore, je n'ai pas été déçu. Entre une domestique (noire), un riche (véreux et sans-coeur), une famille (ultra adorable), une épouse (hyper compréhensible et dévouée) et un ange (qui est venu sur terre pour mérité ses ailes!!) je peux dire que j'ai eu droit à un festival du clichés.
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Il faut essayer de voir ce film avec les yeux du spectateur des années 1940; Hollywood se donnait comme mission de sortir les gens de leur chagrin après la 2e Guerre mondiale. Les bons sentiments du film seront repris ad nauseam plus tard, et deviendront alors des clichés. Ici, Capra veut prouver que l'amour peut changer la vie, un message essentiellement chrétien. On peut ne pas y adhérer et apprécier le travail...