Un premier film réussi sur une relation père-fils, qui est aussi un feu d'artifice de testostérone, le plus souvent mal canalisée. Un scénario minimaliste; peu de dialogues; des personnages plein de mystère, bien joués; de très belles images de la région de Matane. Par contre, la trame sonore, composée surtout de hip-hop québécois (entre autres, les Dead Obies) est à la limite du supportable. François Péloquin est un réalisateur à suivre.
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