J'étais emballé lorsqu'un ami m'a dit que ce film était sur le site de cinéma Montréal pour que je puisse enfin en faire la critique. J'ai vu cette... chose... appelons-la film pour les fins de critique en salle, imaginez... je ne sais pas combien de beaux dollars j'ai vaporisés pour assister à la déchéance intellectuelle la plus totale. Ce film transcende la pourriture à chacune de ses scènes. L'incohérence absolue y est omniprésente. On n'y comprend que dalle. Laissez-moi vous mettre ça par écrit : c'est un peu comme si un narrateur (disons Perreault) vous lisait, sur un fond noir, une feuille sur laquelle seraient écris 1h27 de "Tire la chevillette, la bobinette cherra"... On ne comprend RIEN! Et ce, du début à la presque toute fin car, comme la quasi-totalité des spectateurs, j'ai foutu le camp tant j'étais estomaqué par ce flot incessant de clichés, d'inepties, de textes saugrenus, de non-sens burlesques genre tarte à la crème -une femme ouvre ses mamelons et aréoles pour nous laisser voir une deuxième paire de yeux?!?! - de nudité gratuite et inutile et, surtout, de textes qui ne mènent à rien. En résumé, un monstrueux désastre cinématographique. Connaissez-vous Stephen Volk? Moi non plus. C'est lui qui a créé cette abomination. Au moins, il n'a pas récidivé avec un Gothic II et s'est tourné vers l'avenir en écrivant entres autres Shockers pour la télé, The Nanny et Ghostwatch. Ne louez pas Gothic, regardez plutôt votre téléviseur éteint en vous répétant que grâce au non-visionnement de ce film, votre cerveau conservera toute sa vivacité et ne rétréciera pas lors de votre prochaine douche. Sur ce je vais bouffer...
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