Le film, ou plutôt le téléfilm 'maladie-de-la-semaine' n'est pas surprenant pour son sujet ni son traitement, mais pourquoi la double oscarisée Hilary Swank s'est-elle sacrifiée à cette cause perdue. Déjà, une personne souffrant de SLA (sclérose latérale amyotrophique) connait déjà son cheminement, son destin. Ici, donc, un scénario donc on connait déjà le déroulement, la fin. De plus, le réalisateur nous donne en prime tous les clichés du genre, tous les stéréotypes, subtilités en moins. On beurre épais, on cherche les larmes, mais peine perdue; j'ai regardé l'heure, plutôt. Bin bin bin découragé que l'on puisse encore tourner ce genre de mélo, aujourd'hui encore.
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