J'ai beaucoup aimé voir évoluer les personnages dans la Russie d'aujourd'hui face à ce qu'ils étaient à l'époque de l'URSS. Mais je croyais que c'était un sujet sérieux... après tout, il est question du Boshoi, c'est pas n'importe quoi et les musiciens ne devaient pas être n'importe qui. C'est pourquoi j'ai été très embarassé de voir comment s'est déroulé l'organisation du regroupement de musiciens ainsi que les préparatifs, puis le voyage à Paris. Que le cinéma soit fait pour rêver, soit; mais de là à faire de la boufonnerie et de l'humour déplacé sur un sujet sérieux m'a fait décrocher, surtout lors des premiers jours en France où rien ne va plus. J'ai beaucoup moins apprécié de voir qu'au moment du concert, les musiciens n'aient jamais répété ensemble, ce qui est invraisemblable mais en contrepartie, cette finale du concert était très émouvante. Mais encore là, des questions... qu'elles étaient donc ces relations entre la soliste et le chef-d'orchestre... pourquoi ne pas avoir axé le scénario sur cette lancée car un peu plus de profondeur sur la psychologie des personnages aurait été préférables aux pitreries de la fraternité des vieux communistes dépassés par les événements, par exemple.
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.