Le règne de la... superficialité oui. Après plus d'une heure, force est de constater que ce que je regardais était ce que Denis Arcand avait à proposer: un grand vide. Tous les interprètes sont fades, sans émotion, à la limite aussi captivantes qu'un pot de fleurs. Aucun des personnages ne provoque de l'empathie, aucune attache émotionnelle. En un mot, je me moquais de leur destinée. Les dialogues sont insignifiants, et le film aurait été plus intéressant en sourdine, sans paroles. Justement, le seul point positif: la photographie. Pour représenter la région de Charlevoix, de Québec, du Massif St-François, les rues de Toronto ou Paris, les cadrages, la lumière sortent magnifier. Un film sur 4 saisons, dans plusieurs villes, en un mot, un beau contenant, pour un contenu abyssalement vide.
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