Un profond remerciement à tous les artistes de ce film québécois (dont Patrick Huard) nous ayant sensibilisé plus que n'importe quel autre film, je crois, à la misère et à la cause haĩtienne. Comme tous et chacun nous aurions été sensibilisés entre autres par les médias, des expositions (le McCord) à Montréal et, cette fois-ci, par un long métrage. Sous l'alibi avoué de l'humour qui à sa façon tient à passer son message, on nous a montré une Haĩti qui peine encore à se remettre mais dont les gens semblent garder un certain espoir. Dans ce film où l'égo (trip) semblerait masquer l'essentiel qui est invisible à l'oeil nu, nos artistes ont tenu non seulement à la dénoncer mais aussi à démontrer jusqu'à quel point nous appartenions au peuple haïtien comme le peuple haïtien pouvait nous appartenir par le coeur. Il ne nous resterait plus maintenant, si le coeur nous en dirait, que d'aller cueillir ce qui depuis toujours nous aurait été offert comme une fleur.
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